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Articles publiés dans cette rubrique

jeudi 29 mars 2012

SUD-Éducation 22 n’a pas participé aux inutiles débats du Conseil départemental de l’Éducation Nationale (CDEN) du Mercredi 28 mars 2012

M. Le Préfet
SUD-Éducation n’a pas l’intention de perdre son temps et de vous faire perdre le vôtre en faisant semblant de croire que le CDEN a un quelconque pouvoir sur la destruction systématique du service public d’éducation, orchestrée par les gouvernements qui se succèdent depuis des années et (...)

mardi 17 janvier 2012

Comité technique académique du 17/01/12 Déclaration de SUD éducation Bretagne

[Qui a dit : « Je prends un engagement devant vous : nous allons diviser par trois, d’ici la fin de la mandature, le taux d’échec scolaire à la fin du CM2 » ? Le chef de l’Etat, le 15 février 2008.
[Qui a dit : « A la rentrée 2012, nous ne procéderons -hors démographie- à aucune fermeture de classe de (...)

mercredi 14 décembre 2011

Déclaration de Sud Education Bretagne mardi 13 décembre 2011

Les représentantEs éluEs de SUD-Education ont lu cette déclaration à la CAPA du mardi 13 décembre Le ministère poursuit sa politique de destruction du service public d’éducation nationale. Les seules choses qui augmentent, ce sont les pressions hiérarchiques.
Le projet de loi de finance 2012 prévoit (...)

lundi 26 octobre 2009

D�claration pr�alable de SUD �ducation 22 au CDEN du 15 octobre 2009

Vous allez probablement tenter, lors de ce Conseil, de nous assurer de l’attachement du gouvernement et de l’administration d�partementale au service public d’�ducation, � l’emploi , � la formation... Mais pouvons-nous encore vous croire, au vu de la r�alit� que nous subissons tous les jours ?

lundi 26 octobre 2009

DECLARATION PREALABLE DE SUD EDUCATION AU CTPA DU 22 OCTOBRE 2009

M. le Recteur, vous avez soulign�, dans un entretien tr�s r�cent au T�l�gramme (22 octobre 2009), que le seul probl�me que vous avez eu � r�gler � cette rentr�e a �t� celui du poste d’enseignant en breton de Bruz. C’est tr�s �trange, car nous n’avons vraiment pas les m�mes remont�es, ni la m�me analyse. (...)